Mais t'es pas sensé être mort, toi?
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Mais t'es pas sensé être mort, toi?
Le Joker
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Sam 10 Déc - 13:30
La nuit tombe sur Gotham, et, tandis que je regarde le soleil se coucher, teintant le ciel d’une lueur sanglante telle que je l’aime, je ne peux m’empêcher de sourire. Puis, je m’adresse aux ténèbres qui commencent à prendre le dessus comme chaque soir.

J : Tu vois, Joe, où que tu sois, encore une nuit qui tombe, et, encore un moment d’amusement. La nuit, les moments où les camarades de jeu se réveillent. Avec qui vais-je m’amuser ? Un pingouin, un ex-juge à la double personnalité, ou un autre ? Les possibilités sont presque infinies. Et non, je ne suis pas encore mort, quoi que les gens puissent croire ! Je m’amuse bien en attendant de te retrouver, vieux frère !

Je m’approche d’un buraliste, et prends un journal, sans lui demander son avis, puis, je le lis, malgré les cris outrés du commerçant.

J : Oh, mais où avais-je la tête ? Voici un dollar pour la peine.

Et je lui lance une pièce à mon effigie, avant de disparaitre dans les ténèbres. J’entends encore, au loin, les cris de colère de cet individu, et je me surprends même à regretter de ne pas l’avoir occis.
Mais je déborde de joie, un article dans le journal m’a inspiré, et je m’amuse à gambader joyeusement en direction du musée.
Je sais que je vais devoir faire attention. Depuis que j’ai réapparu, je n’ai pas encore revu la chauve-souris, qui doit me croire mort, c’est plus marrant !

Les lumières de la rue me semblent trop vives, aussi, je m’approche du central électrique, et je fais sauter le couvercle du boitier. Un éclairage en mode fêtes, ça va être plutôt fun, aussi, je tourne le bouton dans cette direction, et les éclairages passent dans des teintes multicolores.

Je ramasse ensuite un caillou que je projette contre une porte de fer, ce qui fait un grand raffut et déclenche une alarme.
Je crie

J : DORMEZ BIEN, BRAVES GENS !

Et je m’avance sur le pont, en direction de mon objectif.
J’ai le temps, je m’assois sur le parapet et m’amuse tranquillement avec un grand couteau que j’ai sorti de sous ma veste, quelqu’un, demain matin va trouver ses pneus dans un drôle d’état.
Damian Wayne
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Ven 16 Déc - 14:43

MAIS T'ES PAS SENSÉ ÊTRE MORT, TOI?

 IL Y A QUELQUES JOURS
Après mon arrivée, mon idée première était d'aller au manoir Wayne pour parler à Bruce. Mais je compris vite que cela n'est pas la bonne approche, il fallait que j'en apprenne plus sur mon homologue.

C'est à la bibliothèque que j'eu mes réponses, en consultant les archives lié à Bruce Wayne et à Batman et j'eu de quoi être bien embêté. Voici deux extraits de coupure de journaux :

" Le milliard Bruce Wayne à donner aujourd'hui même une conférence de presse en rapport d'une nouvelle innovation de Wayne industrie. Ce fut l'occasion de ce que devenait son fils Damian, sa réponse fut claire, il est reparti vivre avec sa mère"
« Aujourd'hui le commissaire James Gordon à annoncé la mort du jeune Robin, coéquipier de Batman"


Donc, il est mort, mais Bruce a fait croire à son départ. Me pointer au manoir est vraiment une mauvaise idée, le bon vieux Alfred risque de faire une attaque en me voyant. En patrouillant la nuit et le meilleur moyen de retrouver Batman.


AUJOURD'HUI :
Après avoir renvoyé Harley à Arkam après son évasion, je me suis lancé sur les traces du Joker. Lui aussi sa place est à Arkham Je me mus à réfléchir est ce que il y a  Joker sur chaque monde est tous sont il des criminel fou ?

]Ce soir je n’ai aucun mal à retrouver le personnage. Il suffit de suivre les petits délits et de tendre l'oreille. Il était là jouant avec un grand couteau assis sur le parapet d'un pont. Moi en tenue de Robin je toussote pour attirer son attention :

«  Joker, Joker, Joker, d'une voix lasse, mais que fais- tu ici ? Tu sais bien que tu vas retourner à Arkam. Pose ce couteau et on y va, j'ai d'autres choses à faire ?"

sais qu'il ne va pas coopérer, il va jouer au plus malin parler. Mais je me méfie de lui, j'ai lu dans les archives qu'il avait tué un autre Robin, Jason Todd. Mais il devrait se méfier lui aussi, je suis comme Batman, utilise une arme à feu ou tabasser un adversaire ne me pose aucun problème. Ce n'est pas ce qui va m'empêcher de dormir.

J'observe les réactions du Joker prêt à réagir et à éviter quelques désagréments qu'il pourrait m'envoyer.


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Le Joker
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Ven 16 Déc - 19:30
Je suis tranquillement en train de jouer avec ma lame, en repensant à mes différents griefs avec la chauve-souris, lorsque j’entends qu’on m’interpelle. Je me retourne, et j’aperçois l’acolyte de mon cher nemesis.
Je le regarde avec stupéfaction, et je me fige l'espace d'un instant, heureusement, je me reprends vite. Je croyais que ce jeune fou flottait en haut du bocal. Les apparences sont parfois trompeuses. J’observe autour de moi persuadé que je suis que mon vis-à-vis n’est pas venu seul, puis, je sors un jeu de cartes, et j’en tire une.
Mes fameuses cartes qui ne m’ont jamais laissé tomber.
La carte m’indique, qu’en effet, il est venu seul. Ce qui me tire un rictus.

J : C’est la nuit des mauvaises surprises, dirait-on. N’aurais-tu pas dû rester mort ? Je vais devoir remédier à ça, il semblerait.

Je fais un petit pas pour m’approcher du parapet. Je pose ma lame sur la pierre, et je ramasse ma canne. Puis, je le regarde avec lassitude.

J : Je suis quand même bien déçu. Franchement, m’envoyer un petit apprenti chauve-souris pour m’appréhender, mais quel manque de respect, quel manque de considération pour ma personne ! Mais je mérite autre chose, autre chose qu’un faire-valoir ! Où est donc la chauve-souris ? Batounet, où te caches tu ? Me sous estimes tu tellement que tu m’envoies un guignol à ta place ? Ce petiot voudrait m’envoyer à Arkham ? Mais avec quelle armée ?

Je m’assois sur le parapet, en croisant les jambes.

J : Je crois que Batman aime assister aux enterrements, en fait. Et moi, j’aime rendre les gens heureux, alors, je vais exaucer son souhait, et lui en offrir un. Le tien !

Je me relève d’un coup, et me mets à marcher sur le parapet, et je fais mine de glisser du côté de la rivière.

J : Oups, quel maladroit. Ça aurait été ballot, ça aurait permis au jeune fou suicidaire que voici de s’offrir quelques heures de répit, avant de tomber sur un autre morceau trop dur à macher !  Au fait, petit, connais-tu mon mot préféré ? Occire ! Ça sonne bien quand même, occire, comme une caresse aux oreilles. Ne trouves-tu pas, toi qui es sensé avoir expérimenté la joie de se faire occire !

J’éclate de rire, en restant sur mes gardes, cependant, j’ignore d’où vient cette résurrection miraculeuse, et ce qu’il en a tiré, et ça me rend un peu perplexe. Mais comme il est revenu, autant m’en amuser !
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Jeu 29 Déc - 12:11

MAIS T'ES PAS SENSÉ ÊTRE MORT, TOI?

 J’écoute les délires de ce clown. Contrairement à ce qu’il croit, il m’amuse guère et croit que mon mentor est dans le coin, pauvre fou. Il me sous estime tellement, il me croit bien incapable de lui faire retrouver les cellules de l’Asile d’Arkham. Quand i parle de faire plaisir au gens, j’esquisse un rictus, mais quand il parle de m’occire, là je baille :
 
«  Ca tombe bien moi aussi j’aime faire plaisir. En te revoyant à Arkham, je réjouis tout Gotham, quand à ma occire, désolé j’ai déjà donné »
 
Je n’ai aucune raison de lui révéler que je ne suis pas le Robin de ce monde. Je le regarde se balader sur le parapet, faisant style qu’il va glisser et finir au fond de cette rivière geler et mourir, malheureusement, il me fera pas cette joie. Sérieux il commence grave me faire perdre patience :
 
«  Bon écoute si tu espère voir débarquer Batman, tu va être déçus »
 
Je sors de son fourreaux mon sabre, merci grand père et m’avance droit sur lui, en restant sur mes garde, je ne suis pas à l’abri d’une mauvaise pitrerie de ça part. Peu importe du monde où l’on vient, la finalité reste la même le Joker finie quoi qu’il arrive par se faire arrête :
 
« Ecoute moi pauvre fou, tu as peu être du temps à perdre, mais pas moi, donc soit on y va gentiment soit c’est de mon épée que tu aimer goûter. De nous deux tu seras le premier à occire. Tu vois je ne suis pas comme Batman. Okay i un code d’honneur discutable, on se sert d’arme et on ne tue pas. Ben moi vois tu, je ne suis pas pareil, me tuer ne pose a problème, mais alors aucun, mais contrairement à moi, si tu meurt, je m’assurerais que tu ne revienne pas »
 
Ma voix est neutre, ni jovial, ni glacial. A vrai dire, il choix et c’est vrai que l’une des options à ma préférence, mais je sais bien que comme d’habitude, ce type ne va pas coopérer, je vais lui faire ravaler son terme d’apprentie chauve souris :
 
« Tu veux écouter mon mot préférer à moi ?  C’est cercueil. C’est là  que je  vais t’envoyer »
 
Je me mets en position, prêt à l’embroche au moindre de ses gestes, intérieurement je me réjouisse de cela, bientôt je sentirais ma lame s’enfoncer en lui jusqu'à la garde et voire son sang le quitter peu à peu sa peau devenir blanche, et là il n’aura même pas besoin de maquillage et je me réjouis que la dernière chose qui va voire, c’est moi, finalement c’est une excellente soirée.

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Le Joker
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Jeu 29 Déc - 13:37
J : Du temps à perdre ? Oui, moi, j’ai tout mon temps, mais, si tu as des choses urgentes à faire, je ne te retiens pas. On peut tous les deux vaquer à nos occupations, sans nous collisionner mutuellement, tu vois, je suis un honnête joker qui se contente de lire son journal à la lueur d’un réverbère.

Je m’assois sur le capot d’une voiture, et reprends mon journal, que je fais mine de lire, alors que, je m’en moque, l’article qui m’intéressait, je l’ai déjà appris par cœur. Alors que, lui, commence à me parler de son code de déshonneur. J’écoute un peu son monologue, en notant certaines remarques qu’il me fait, et note qu’il compte bien faire un jokericide.
Je remarque qu’il sort son épée. Et, je constate que j’ai malencontreusement laissé mon couteau sur le parapet, un peu plus loin, et que je me suis tellement éloigné que le jeune homme serait le premier à l’atteindre. Bon, tant pis, je ferai sans.
Je me lève, et recule en faisant tournoyer ma canne, et dans une démarche chaloupée. Je m’amuse bien, moi ! Je me mets sous la lumière, et le fixe dans les yeux.

J : C’est vrai, tu me sembles différent, plus efficace. Je vois dans ton regard que tu es un tueur, un assassin sociopathe. Quelqu’un qui n’a aucun remords après avoir occis quelqu’un d’autre. Alors, petit, tu dois me comprendre mieux que quiconque, mieux que la chauve-souris. Tu connais ce sentiment, celui de toute puissance, lorsqu’on arrache le destin d’un être inférieur. Cette sensation qu’on ressent en voyant sa vie s’envoler et son regard s’éteindre. Et, le lendemain, d’avoir la chance de passer à autre chose, sans aucun regret, sans aucun remords. Tu vois, petit, tu es comme moi, pareil, sans aucune différence, à ceci près que, moi, je ne me mens pas à moi-même, je reconnais que le meurtre, j’aime ça. Et, ca y est, t’es mort !

Je sors de sous ma veste un pistolet à grenaille, le dirige vers son visage, et j’appuis sur la détente. Un pétard résonne et un petit drapeau sur lequel est écrit « PAN » sort du canon. J’éclate de rire.

J : Ou pas. Tu me plais bien, en fait, tu es comme moi. Je comptais prendre ma retraite, bientôt, ça te plairait certainement de me remplacer, de devenir le nouveau Joker ! Tu es efficace, drôle, et tu aimes tuer, et si tu m’occis maintenant, tu me donneras encore plus raison.

Je saisis le poteau du réverbère, et en fais le tour. Puis, je m’en éloigne un petit peu. Avant de m’allonger sur le sol.

J : Mais, tu ne dois pas oublier, petit, on ne s’en prend jamais à un homme à terre.
Damian Wayne
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Lun 9 Jan - 11:22

MAIS T'ES PAS SENSÉ ÊTRE MORT, TOI?

 Il parle encore et toujours, je l’écoute, il n’a pas totalement tord, il joue avec sa cane. Il se met sous un lampadaire, en pleine lumière, ses yeux me fixent. Il parle d’une sensation que je connais. Son discours est bien ficelé, une sort un pistolet à grenaille et me tire dessus. J’effectue un bond sur le connais, alors qu’il éclate de rire, un petit drapeau avec écrit pan dessus en et sorti. Là il commence sérieusement à m’énerver.
 
Là c’est le bouquet, il ose dire que je suis comme lui, que je veux prendre sa succession. Là oui le faire à tout jamais me tente. Ca serais rapide nette, sans trace, impossible de savoir qui est l’’assassin. Je suis formé pour tuer, mon grand père m’a formé dans cet objectif, mais en faisant appelle à mon mental, je repousse cette idée. N’hésitant pas une seconde à soutenir son regard.
 
Il recommence son manège bien trop théâtral à mon goût.  A la limite j’en baillerais. Il tourne autour du réverbère, faut reconnaître qu’il à le sens de la mise en scène. Puis il s’éloigne et s’allonge au sol en me faisant la remarque qu’on ne s’en prend pas un homme au sol. Je m’approche un peu de lui, gardant une distance de sécurité malgré tout, je n’oublie que c’est un fou :
 
« Alors écoute-moi bien bouffon. De un arrête de m’appeler gamin, je ne sais pas quel âge que tu me donne, mais le gamin m’exaspère et je vais te faire passe l’envie de m’appeler comme ça. De deux, toi et moi on pas pareil, on est très différend, tu es un psychopathe, un fou. Tu tue pour le plaisir et enfin troisièmement. M’en prendre à une personne, me pose aucun problème. Surtout si la personne et quelqu’un comme toi.  Mais malheureusement pour moi, tout le monde veut que tu retourne à Arkham. Aller debout on y va »
 
Ma voix et tranchante et glaçante, Si il continue comme ça, il va sentir ma lame. Je ne le tuerais pas, mais je ne lui ai jamais promis qu’il soit en bonne état pour son retour à l’asile :
 
« Joker dis moi tu tiens au bon fonctionnement de tes articulations ou tout tes doigts, donc obéit sinon je te laisse un souvenir inoubliable »
 
J’aimerais tant qu’il m’oblige à mettre ma menace à exécution, je lui coupe un doigt, il lui en reste neuf, oui il aura mal, mais franchement, ca me fait ni chaud ni froid.
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Le Joker
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Mar 10 Jan - 21:04
Toujours allongé sur mon trottoir, je le vois s’avancer, avec crainte et méfiance. Il a bien raison, il me connait quand même mal. Mais, pour le moment, les choses vont bien dans le sens où je le souhaite.

Je finis par me relever, en restant non loin de lui, afin de lui montrer que je ne le crains pas. Et je m’adosse au réverbère.

J : Je n’ai pas le souvenir d’avoir employé le mot GAMIN, petit, tes oreilles te joueraient-elles des tours ?

Puis, je lui fais un clin d’œil.

J : Es tu tellement certain que nous sommes si différents ? Je suis un clown, et tu te balades en costume de cirque. Tu m’accuses de tuer par plaisir, mais, toi, si tu avais le loisir de m’occire, n’en tirerais tu pas de la joie ? Oui, je suis un peu fou, même complètement barré, aussi, me faire traiter de fou, je ne le prends pas pour une injure, c’est ce que je suis. Mais ne l’est-on pas tous un peu ? Suis-je plus fou que l’être qui m’a créé ? Celui qui m’a balancé dans une cuve d’acide ! Celui qui m’a lâché sur Gotham, parce qu’il a, et qu’il aura toujours ce besoin maladif de jouer les héros, et qu’un héros, sans ennemi, il n’est qu’un ornement inutile ! Au final, je suis son arme, et il est comptable de mes actes, lui, pas moi, je suis fou !

Je me décolle du réverbère, et je fais deux pas en direction du parapet. Je vais continuer à retourner ses paroles contre lui. Je sais que je n’aurai pas le temps de le briser comme je l’avais fait avec Harley, il me faudrait plus qu’une nuit. Mais, j’arriverai peut-être à l’ébranler, et, qui sait, peut-être qu’un jour, ces paroles reviendront le hanter.

J : Tu dis que ça ne te poserait aucun problème, de t’en prendre à quelqu’un comme moi, je suppose que tu veux dire par là, m’envoyer six pieds sous terre. Ce qui veut dire que tu considère qu’il existe des vies qui ont différentes valeurs. Des gens qui doivent être protégés, et d’autres qu’on peut occire sans remords. C’est exactement ce que je pense. Alors, mon gars, explique-moi quoi nous sommes différents ? Mis à part que nos critères pour hiérarchiser la valeur des gens est sensiblement différente.

Je m’amuse beaucoup, et je semble lire sur la partie visible de son visage, un certain agacement. Une colère latente qui pourrait bien exploser. Ca tombe bien, je n’attends que ça. Quand on est en rogne, on fait des erreurs !
En revanche, je m’interroge beaucoup sur sa résurrection, sur certaines choses qu’il ne semble pas avoir relevé dans notre conversation. Le Robin que j’avais affronté n’aurait pas réagi de la sorte. Serais-je en présence d’un imitateur ? Ou est ce que celui qui est mort était un leurre ?  Voilà un mystère digne de ce cher Edward Nigma ! Ah, Ed, dommage que tu ne sois pas là, on aurait bien ri.

Je souris.

J : Désolé, je pensais à un confrère, et je suis certain qu’il te plairait. On pourrait faire un dîner à l’occasion, un dîner de fous ! Mais je te préviens, à ce jeu là, je suis imbattable !

Et il me menace avec sa lame. Il croit vraiment être le premier à me menacer à l’arme blanche ?
Je m’approche un peu avec un sourire mauvais. Puis je lève le bras dans sa direction, ma main droite dans laquelle se trouve toujours mon journal. En prenant un air de gros masochiste.

J : Oh oui, vas-y, j’ai toujours rêvé de devenir Joker Adams, et d’avoir ma propre chose. Et, de l’autre côté, avec une main en moins, je pourrais même me faire appeler Joker Skywalker. En tout état des choses, tu me montres un côté sadique que je ne connaissais pas chez toi, Robin. Tu me fais penser à certains de mes confrères, Double face, notamment.

Je me demande s’il va céder à la colère, et passer à la violence physique, ou s’il n’a pas encore atteint ce stade. Dans tous les cas, je lui réserve une sacrée surprise !
Damian Wayne
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Lun 23 Jan - 13:39

MAIS T'ES PAS SENSÉ ÊTRE MORT, TOI?

 Ce fou m’agace, j’ai vraiment envie de lui faire ravaler ce maudit sourire. Personnellement le mutiler ne me pose aucun problème. Toutes mon enfance j’ai était élevé dans se sens, aucun sentiments, faire ce que j’ai à faire, j’approche de lui déterminer à le  faire terre une bonne fois pour toutes, mais dernier moment je crie  de rage :
 
« Maudit Batman ! »
 
Ses leçons de moral ont fait du chemin dans mon esprit. Cette stupide règle on ne tue pas… Je m’éloigne de lui , range mon épée furax, mais je reprend mon calme le regardant se relever et s’adosser au réverbère, quand je pense qu’a cette distance, je peut le transpercer sans difficulté, mais tout comme le mien, le Batman de ce monde n’approuve pas la torture. Et il se remet à parler, encore :
 
« C’est vrai tu m’as dit petit, mais au final dans ta bouche ça veut dire pareil non ? »
 
Peut importe ses paroles. La moitié de ses dires ne retiennent pas mon attention, plus que ça. Il à peur de moi, je le vois bien, il ne me craint, je persuadé qu’il a tord. Malgré ce que je pense de lui, je dois avouer qu’il à excellent sens de la mise en scène, il aurait du succès au théâtre. J’ai du mal voir, mais je crois qu’il m’a fait un clin d’œil. Il dit être fière d’être traité de fou, qu’on l’est tous un peu être celui qui mettrais fin à ses jours me plairais bien. Et il a raison, mais je ne lui montre rien, sauf un agacement certain. Il e parle pas de comment il est devenu ce qu’il est de cette rencontre avec une cuve d’acide. Je le vois approcher du parapet où est son couteau, mais je me place entre lui et son objectif, je sens en moi une colère qui a envie se s’exprimer en lui refaisant le portrait Ca me ferait un bien fou.
 
Il  m propose un repas avec lui et un ami à lui, si seulement il puisse en avoir vraiment. Enfin le terme qu’il utilise c’est confrère. Tout en l’écoutant, je m’empare de son arme que je glisse dans ma ceinture. Je ne comprends pas de qui il parle, Adams, Skywalker,  avec méfiance je lui dit :
 
« Quelle chose ? Tu dis avoir ta propre chose ? Tu parle d’Harley ? »
 
Ce questionnement me fait redescendre et adoucir ma colère au point de ranger mon épée, même si je reste sur mes gardes. Le voilà de nouveau calme et posée et surtout glacial. 
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Mar 24 Jan - 19:37
Je souris, c’est fou ce que je m’amuse, et, plus il me semble à bout, plus je le trouve drôle. Et, il essaie de ramener la conversation sur Harley.

J : En fait, non. Je pensais à un film que j’avais vu à un moment où je m’ennuyais à Arkham. L’histoire d’une famille bien marrante, avec une main coupée qui se promène toute seule, appelée la chose. Si tu ne connais pas, je t’invite à découvrir. Mais pourquoi me parles tu de Harley ? Elle te plait ? Tu voudrais que je t’arrange une soirée romantique avec elle ? Oublie les fleurs, et offre lui plutôt une batte de base ball, cloutée de préférence.

Je lui fais un nouveau clin d’œil . Je suis certain que ce Robin n’est pas l’original. D’ailleurs, ne serait-il pas un petit peu plus grand ? Oh, quelle importance, je l’amène exactement où j’en ai envie. Je le regarde confisquer mon couteau avec un regard amusé.

J : Tu pourrais demander avant d’emprunter les jouets de tes camarades, petit. Heureusement que je suis prêteur. Tu t’en serviras pour occire une personne ou deux, en pensant à moi ! Mais tu ne m’as pas répondu à ma question, sans doute n’as tu pas de réponse, qu’y a t-il de différent entre nous deux ?

Je m’appuie sur ma canne, et m’amuse à tourner autour, comme sur un manège. Je m’amuse comme un fou. Puis, je roule mon journal et le range dans ma poche.

J : Je te vois pester contre Batman, un souci ? Une envie de le tuer ? Tu veux en parler ? Je peux jouer le rôle de ton psy, si tu veux. J’en ai vu tellement des psys, que je sais comment ils fonctionnent, j’en ai même rendu un certain nombre complètement fou !

Je me recule de quelques pas, et j’avise une voiture. Je brise la vitre, et ouvre la portière arrière.

J : Bien, faute de divan, tu peux toujours t’allonger là-dessus.

Je m’éloigne, certain qu’il ne jouera pas le jeu. Et je fais quelques pas de danse sur le trottoir. Et je regarde l’église, un peu plus loin. Le clocher indique déjà minuit moins le quart.

J : Décidément, le temps passe vite, quand on s’amuse, que dirais-tu d’un entracte ? Allez, je te lance un petit défi.

Je sors rapidement une petite capsule de ma poche, que je lance au sol devant moi. Une fumée rose m’enveloppe, et j’en profite pour disparaitre un instant, et réapparaitre de l’autre côté du pont.

J : Coucou, je suis là. Et en charmante compagnie.

J’en ai profité pour saisir une jeune femme qui traversait le pont.

J : Bonjour, mademoiselle, comment vous appelez vous ? Diana ? Joli prénom. Alors, Diana, merci de vous proposer comme volontaire pour jouer à un petit jeu avec mon jeune compère. Ca va, vous ne vous sentez pas trop mal ? Des difficultés à bouger ? Normal, je vous ai fait respirer un gaz Joker, pendant les deux prochaines heures, vous serez engourdie, et aurez du mal à vous mouvoir. Le petit jeu consiste à voir si Robin, ci présent, lorsque je vais vous envoyer dans le fleuve, est ce qu’il va vous sauver, ou vous laisser mourir parce qu’il préfère courir après ma petite personne ?

Je l’approche du ponton, et la bascule par-dessus bord. Puis, je commence à m’éloigner, en riant sous cape. Je m’amuse tellement que je ne compte pas filer, j’ai remarqué un banc un peu plus loin où je pourrait l’attendre, s’il décide de sauter. De plus, j’ai attaché la ceinture de la fille avec un cordon invisible, histoire de faire faire un plongeon à Robin, ou qui qu’il soit, pour rien.

Je souris en pensant à quel point ce petit peut m’être utile.
Damian Wayne
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Dim 5 Fév - 16:05

MAIS T'ES PAS SENSÉ ÊTRE MORT, TOI?
Il, le Joker, balance une fille par dessus le parapet du pont, Sans réfléchir je cours en direction de l'endroit, sort mon grappin et plonge. La descente va vite, ne remarqua alors, que la jeune n'a pas fait un plongeon, mais suspendu dans le vide retenu certainement par un file invisible.

Avec habilité j'inverse mon grappin et remonte à sa hauteur, essayant de sourire je lui dis:

" Tenez vous bien, ne me lâcher pas"

Une fois la fille bien agripper a ma personne, de ma main libre, j'attrape le couteau dans ma ceinture et après avoir capté ou elle est relier au câble invisible je le coupe. Remet le couteau en place, met mon bras autour de sa taille et on remonte. Une fois de retour sur le pont, je me place entre la femme et le Joker. Sans quitter des yeux le clown, je dis à la femme de fuir. Une fois cette dernière loin, je dis:

" Tu aimes jouer avec les effets ? Voilà !"

Je jette une capsule au sol qui se brise. Immédiatement une épaisse fumée se forme. Celle-ci finit par l'envelopper complètement. Mais quand cette dernière s'évapore j'j'ai disparu et me trouve juste derrière le Joker. En éclair je lui passe les menottes. Il est prisonniers et la je me place face à lui:

" La différence est là. Jamais je m'en prends aux innocents "

Dans les différences, il y a aussi que les filles me préfèrent à lui et que je suis un beau gosse. Après avoir humé l'air victorieux:

" Tu as perdu comme à chaque fois. Debout ta chambre a Arkham n'attend que toi"

Il peut dire ou faire ce qu'il veut, j'ai gagné il a perdu, je reste maître de moi même. Au il failli vraiment me faire perdre mon self control, le Batman de mon monde m'a bien formé, malgré toutes ses règles et son obstination à ne pas vouloir tuer.

Allez mettons nous en route, je n'ai pas que ça à faire, j'ai perdu suffisamment de temps avec ce perturbateur.


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Le Joker
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Dim 5 Fév - 17:27
Je me retrouve menotté, et je finis par éclater de rire. Le vrai Robin se serait étonné que je menace de l’occire, sans prononcer ma phrase fétiche, et se serait étonné de la facilité avec laquelle il m’a maitrisé.

J : Bravo petit, tu as réussi à m’attraper, félicitations. Batman te donnera un bon point, et, après dix bons points, une image ! Et tu dormiras mieux ce soir ? Moi, je ne sais pas, mais, je m me suis amusé comme un petit fou. Et juste pour savoir, tu attends quoi de Batou ? Des félicitations ? De lui servir encore un peu pour pas qu’il ne te rejette ? Bon alors, allons faire un tour à Arkham, voir si ça n’a pas changé de place.

Je finis, quelques minutes plus tard par me retrouver dans l’aile de sécurité d’Arkham, entouré par une dizaine de gardes lourdement armés. Et je souris, alors que le nouveau directeur me récite les règles de l’asile. Il finit par me demander si j’ai des questions, certainement pour la forme, mais, j’en ai quelques-unes à poser, en effet.

J : Directeur Concinni, si j’ai bien entendu. Je note votre nom pour le noter sur votre tombe. J’ai une question : AVEZ-VOUS DEJA DANSÉ AVEC LE DIABLE AU CLAIR DE LUNE ?

En entendant ma question, les gardes lèvent leurs armes. Et je me mets à rire.

J : Personne n’a trouvé étrange qu’hier, le principal complice du Joker soit amené et interné ici, et qu’aujourd’hui, une fois l’information parue dans le journal, ledit Joker soit amené par un sous fifre, quasi sans aucune résistance ? D’ailleurs, ledit sous fifre était sensé être mort, ne vous êtes vous pas posé de question à ce sujet ? Peut-être, ou peut-être pas, s’agissait-il d’un de mes complices ! Joe, je viens te chercher !

Si en plus, je peux égratigner la crédibilité de Robin au passage, je ne vais pas m’en priver. Ce que je peux être méchant, et j’aime ça.
Je fais mine de ne pas bouger, ne pas être une menace, mais, j’ai tiré depuis quelques secondes un fil qui sortait de ma manche, et la toxine Joker, libérée, s’est répandue dans le vestibule du quartier de sécurité. Avant même de comprendre, les gardes sont étalés au sol, morts, avec un sourire crispé sur le visage. Je ramasse la carte d’accès de leur chef, ses clés, et son arme, il n’en n’aura plus besoin, et me dirige vers le bureau du directeur, en défaisant les menottes, et en ne me privant pas d’occire ceux qui se dressent sur mon chemin.

(A suivre…)
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Mais t'es pas sensé être mort, toi?
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